« Pour terribles qu’ils soient, les catastrophes matérielles et les antagonismes humains, ne sont pourtant que le symbole de la tragédie infinie qui se joue dans les profondeurs. Notre mal, en vérité, est plus profond que toutes nos détresses apparentes et que toutes nos violences de chair: c’est l’amour d’un Dieu qui saigne dans nos coeurs. »
Zundel, Maurice. Le poème de la sainte liturgie.Oeuvre St-Augustin – St-Maurice, Suisse (DDB en France). 1934. p.74.
Filed under: 2006 | Tagged: Mal, Maurice Zundel |
Laissez un commentaire