« Même si tous les arbres de la terre étaient des calames, si tous les océans étaient de l’encre, alimentés par sept autres océans, les Paroles de Dieu ne pourraient pas être épuisées. »
Abû Zayd cite les passages coraniques 18, 109 et 31, 27 qui mettent l’accent sur le fait que les paroles d’Allah sont infinies et inépuisables, dans BENZINE, Rachid. Les nouveaux penseurs de l’Islam. Albin Michel, 2004 (Format de poche 2008), p. 200.
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